Sofie est actuellement inscrite au programme de baccalauréat en anatomie et biologie cellulaire de l’Université McGill. Elle participe activement à la défense des intérêts des étudiant·e·s, et a d’ailleurs été sénatrice adjointe pour la faculté des sciences au Sénat de McGill, deuxième principal organe directeur de l’université. Sofie a mené les efforts de réforme des services de sensibilisation à la violence sexuelle au sein de sa société étudiante et contribué à de nombreux projets et refontes de politiques universitaires. Elle est actuellement représentante de la faculté des sciences au sein de la société étudiante de McGill et représente la voix et les intérêts de ses pair·e·s au sein du conseil législatif étudiant.
Parallèlement à ses études en sciences de la vie à l’Université McGill, Kai poursuit ses activités de violoniste de haut niveau, participant à des compétitions en tant que soliste et à des concerts de musique de chambre. Pour lui, la musique crée des liens, que ce soit lors de représentations dans des résidences pour personnes âgées ou par l’enseignement. Kai est vice-président des finances du programme Prudence au volant de l’Association étudiante de McGill (AÉUM), un service qui reconduit les étudiant·e·s en toute sécurité, et il siège au conseil de sa résidence. Il travaille bénévolement comme tuteur en mathématiques et en français.
Alexa étudie au baccalauréat en génie biomédical à l’Université McGill. Elle est fondatrice et présidente de l’association caritative Girls to the Power of Math (G^M). Les programmes gratuits de G^M visent à donner aux jeunes Britanno-Colombiennes une meilleure confiance en mathématiques grâce au mentorat, au jeu et à un environnement social collaboratif. Partie de Vancouver, l’initiative a pris de l’expansion jusqu’ailleurs dans la province, proposant désormais des programmes aux populations à risque, aux étudiant·e·s francophones et aux communautés autochtones. Alexa est conférencière pour des organismes tels que le Engendering Success in Stem Network, la Société pour les femmes canadiennes en science et technologie, et le Science and Technology Awareness Network, auxquels elle contribue également. Alexa ne cesse d’en apprendre sur le soutien aux étudiantes s’identifiant comme femmes dans le but de combler les disparités de genre en STIM.
Étudiant en neurosciences, Vincent fait du mentorat auprès de ses pairs au département de biologie à McGill. Il apporte du soutien aux étudiant·e·s de premier cycle et anime des séances de laboratoire hebdomadaires. Également chercheur étudiant au NeoBrainLab de l’Hôpital de Montréal pour enfants, il y étudie l’évolution de l’état de santé des patient·e·s dans le cadre d’essais cliniques. Dans le cadre de son stage d’été en élaboration de politiques, Vincent a dirigé un projet de recherche sur la santé autochtone en collaboration avec l’Institut de recherche en santé circumpolaire à Yellowknife dans les T.N.-O. Les politiques de santé et la sécurisation culturelle dans les soins de santé du Nord le passionnent. À l’extérieur de l’université, Vincent est premier répondant bénévole. Il s’adonne aussi à l’escalade et à la course, qu’il affectionne particulièrement.
Étudiante de premier cycle à l’Université McGill, Chidiebere fait une double spécialisation en biologie moléculaire et en sociologie. Elle est vice-présidente de la durabilité au sein du Syndicat des étudiants en biologie à McGill, codirectrice musicale de Chromatones (un ensemble a cappella géré par des étudiant·e·s) et vice-présidente de l’éducation au sein du Réseau des étudiants noirs de McGill. À ce poste, elle s’efforce d’autonomiser les jeunes Noir·e·s et de leur fournir les ressources qui leur permettront d’accroître leur représentation dans les établissements d’enseignement postsecondaire. Dans le cadre d’un de ses stages d’été Loran, Chidi a travaillé en recherche biologique, participant aux études sur l’ADN environnemental et les mutations génomiques. Elle a également été stagiaire en développement et coordination de programmes à Campus Alberta Neuroscience.
Tout en menant ses études sur le genre, la sexualité, le féminisme et la justice sociale au baccalauréat en arts, Tala fait du bénévolat auprès d’un organisme offrant un refuge, de la nourriture, des soins médicaux et des services sociaux aux sans-abri dans son quartier montréalais. Elle a été éditrice et examinatrice pour plusieurs journaux axés sur la défense d’intérêts. Elle souhaite vivement parfaire sa compréhension des questions politiques et sociales afin de trouver des solutions holistiques et de créer des avenues de transformation positive. Durant ses stages d’été Loran, elle a travaillé dans le secteur à but non lucratif. Elle y a œuvré à l’échelle locale afin que l’éducation et la programmation en arts deviennent accessibles aux jeunes marginalisé·e·s et à l’échelle internationale dans le but d’aider les jeunes femmes à démarrer et à étendre des entreprises sociales dans tout l’Ouganda. Sa passion? L’aide aux personnes les plus défavorisées de la société en collaboration avec celles-ci.
Étudiante en physiologie à l’Université McGill, Younseo fait du bénévolat à l’Hôpital général juif de Montréal. Elle y parfait son enseignement universitaire en se familiarisant avec l’aspect administratif de la médecine. Younseo enseigne la musique à la School of Music Montréal. Elle y transmet sa passion aux jeunes et y promeut la créativité et la collaboration dans toutes les sphères de la vie.
Étudiante en génie civil à l’Université McGill, Louise souhaite jeter des ponts entre les sciences, les arts, les lettres et les gens. Auparavant, elle a cofondé une jeune entreprise en agriculture urbaine. Elle vise désormais les occasions axées sur la transition énergétique. Louise a approfondi cet intérêt durant un stage avec l’Accélérateur net zéro du Canada et lors d’un projet de recherche sur les obstacles sociotechniques de l’électrification du Canada à McGill. Elle travaille sur des projets favorisant les espaces créatifs et inclusifs dans son université à Tiohtià:ke / Montréal.
Pénélope termine son baccalauréat en droit civil et son doctorat en droit à la Faculté de droit de l’Université McGill. Elle est principale agente de traitement des cas et vice-présidente des communications à Innocence McGill, un organisme qui enquête sur les allégations d’erreurs judiciaires au Québec et tente d’obtenir des disculpations. Pénélope est également bénévole au sein du Projet Genèse, un organisme communautaire qui vient en aide aux personnes aux prises avec des problèmes de logement, d’aide sociale, de pension et de soins de santé. Durant ses études, elle reste active en faisant de la course à pied et en jouant au soccer, et s’adonne au dessin et à la peinture. Fortement attirée par les droits de la personne et le parrainage juridique à l’échelle internationale, Pénélope a effectué ses stages d’été Loran auprès du département de protection du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés au Guatemala, où elle a étudié les questions de déplacement forcé en Amérique centrale et les tendances dans la région Izabal du Guatemala, ainsi qu’à la LICADHO, une ONG de défense des droits de la personne qui protège les droits civils et politiques des défenseur·e·s des droits de la personne au Cambodge.
Laurence est étudiante en travail social avec une mineure en études autochtones à l’Université McGill. Elle s’implique au sein de l’association étudiante de son programme, ainsi que dans un comité étudiant qui parraine des étudiant.e.s réfugié.e.s afin de les supporter dans leur réinstallation dans les communautés mcgilloise et montréalaise. Laurence coordonne également un groupe de soutien par les pairs pour des animateur.trices de cercles de réconciliation entre personnes autochtones et non autochtones, en plus d’enseigner bénévolement des cours de français aux nouveaux arrivants de la ville de Montréal.
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