En tant que fondateur du One in All Project, Baljot mène des actions interconfessionnelles et œuvre à l’élimination des inégalités auxquelles font face les personnes de religion minoritaire dans les prisons. Il organise des initiatives de vérité et de réconciliation dans son école et sa communauté et, à titre de secrétaire du club des droits de la personne de son école, il se consacre à promouvoir l’inclusivité et les changements positifs. Il nourrit une passion pour la recherche : son projet sur les moules et les algues bleues du lac Winnipeg a d’ailleurs proposé des solutions concrètes pour aider à régler ce grave problème. Directeur de la rédaction du journal de son école, Baljot aime énormément jouer au théâtre.
Muhaddisa est VP, Opérations, d’un organisme sans but lucratif qui offre diverses possibilités aux jeunes. Elle est aussi capitaine de l’équipe de débat de son école et entraîne la relève. Elle contribue à la planification des initiatives du conseil jeunesse de sa circonscription électorale et du conseil jeunesse de la bibliothèque de son quartier. Par l’entremise d’un club scolaire, Muhaddisa participe à la distribution d’aliments aux sans-abri et à des campagnes de financement pour des crises humanitaires.
Shreya est à la tête du comité de solidarité autochtone de son école, par l’entremise duquel elle a organisé des activités pour la Journée nationale de vérité et réconciliation. Elle est également autrice pour une organisation autochtone militante en ligne, dont elle est également administratrice. Elle a instauré à son école une politique visant à faciliter la transition sociale des élèves trans. Shreya est aussi capitaine de son équipe de soccer
Lily a fondé et dirige le club de leadership autochtone de son école, dont la mission est de soutenir les communautés autochtones et de donner des formations sur leurs différentes cultures. Elle enseigne les mathématiques dans une classe dirigée par des élèves et est mentore certifiée auprès de jeunes élèves. Elle fait de la danse de compétition, préside le club du journal et a participé au programme des jeunes pompier·ère·s de sa ville.
Max est fondateur et directeur administratif d’un organisme jeunesse sans but lucratif et animateur d’une émission de radio dans le cadre de laquelle des gens du monde de la politique, des arts et de l’humanitaire répondent aux questions des jeunes. Il est aussi coprésident du conseil étudiant de son école et membre du conseil jeunesse de sa ville. Il étudie, enseigne et se produit en danse, en musique, au théâtre et en arts numériques. Il est moniteur de ski certifié au centre de ski de sa région.
Coprésident du conseil de la collation des grades, Gerardo planifie maintes activités sociales et campagnes de financement pour son école. Il est également capitaine de l’équipe des premiers répondant·e·s de l’établissement et bénévole pour Migrant Workers Ministry, un organisme qui propose des activités aux travailleur·se·s migrants pendant leur séjour au Canada. Gerardo travaille dans un commerce de détail. Il adore la photographie.
Joesh est militant et orateur pour la santé mentale et la diversité. À titre d’ambassadeur jeunesse de la Stigma Free Society, Joesh s’est adressé à des milliers d’élèves dans plus de 500 écoles au Canada. Il est en outre conférencier TEDx, athlète, président de son école et co-investigateur pour un organisme subventionnaire national en santé.
Bilingue, Graeme a cofondé le chœur de chambristes de son école secondaire. Il est actuellement coprésident du club environnemental et membre élu du conseil de la direction de l’établissement. Moniteur bénévole de judo, il a contribué à la renaissance du programme junior de son club. Il joue du piano, et aime jouer au disque d’équipe (frisbee) et au soccer.
Tumi est coprésidente de l’équipe de robotique de son école et fondatrice de l’Empathy Project, une initiative qui est venue en aide aux communautés marginalisées pendant la pandémie de COVID-19. Elle dirige un programme de mentorat pour étudiant·e·s de l’étranger, discute avec des chefs d’industrie pour promouvoir l’inclusion et a travaillé au financement de l’amélioration du programme d’informatique de son école. Tumi est stagiaire dans une entreprise vidéoludique et bénévole à la banque alimentaire de son quartier.
Danya a fondé l’association des élèves de couleur de son école et est porte-parole des élèves en ce qui concerne les plans pour l’avenir de son district scolaire. Membre active de sa communauté musulmane, elle organise des rencontres et des initiatives pour les jeunes autochtones, noir·e·s et de couleur, enseigne l’arabe à des enfants et est bénévole à la mosquée locale.
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