Gracie est fondatrice et présidente du club autochtone du cégep où elle étudie. Elle est également membre de l’association étudiante, dont elle a aussi été administratrice. Membre de divers comités de défenses des élèves, elle est bénévole pour l’équipe verte de l’établissement, comme elle l’a été au Pérou et au Costa Rica pour un projet de restauration des espaces communautaires et, pendant la pandémie, dans des cliniques de vaccination locales. Gracie est animatrice principale d’un camp d’entrepreneuriat pour jeunes, et monitrice de canoë.
Directeur de la comptabilité de la société des étudiant·e·s de premier cycle de l’Université Queen’s, Wadii fait également partie de diverses organisations financières, sur le campus et ailleurs. Il est trésorier de Y4Y, une organisation à but non lucratif qui met sur pied des projets visant à susciter chez les jeunes un fort sentiment d’appartenance à la société québécoise. Wadii a fondé et co-anime « The Spark », un balado d’éducation financière et civique destiné à sensibiliser sa communauté à la culture économique et civique.
Émilia Gagné étudie en génie informatique à l’Université McGill. Passionnée par l’inclusion de tous, elle a auparavant participé à la mise en lumière du racisme systémique d’un établissement scolaire. Elle poursuit présentement son implication auprès d’un groupe de bien-être intergénérationnel.
Rafael est présentement étudiant en droit à l’Université de Montréal. Il a été stagiaire en droit français-espagnol pour Avocats Sans Frontières Canada. Il a aussi été auxiliaire de recherche en droit constitutionnel et en droit autochtone. De plus, il a assumé le rôle de vice-président du comité Accès à la Justice de la Faculté de Droit. Au cégep, Rafael a été assistant de recherche pour un institut de recherche en immigration. Il s’est impliqué auprès du World University Service of Canada, où il a contribué au parrainage d’un étudiant réfugié. Il a aussi fondé un comité traitant de l’intersectionnalité. Il est saxophoniste depuis maintenant 11 ans.
Luka est un membre actif de son club de débat universitaire et est le trésorier de la Ligue de débat universitaire et collégiale du Québec. Il s’implique aussi pour parrainer l’arrivée d’étudiants étrangers au Québec. Il joue bénévolement du violoncelle pour divers organismes.
Anthony poursuit ses études en génie mécanique à l’Université d’Ottawa. Il adore faire bénéficier sa communauté de ses connaissances. C’est pourquoi il s’implique comme coordinateur de projet dans une entreprise sociale étudiante associée à Enactus Canada qui a pour but de revaloriser les déchets plastiques. Aussi, il est devenu « Propel Impact Investing Fellowship » où il est co-gestionnaire d’un fonds de financement communautaire qui permet de transformer des investissements en impacts positifs pour le monde. Son intérêt pour l’entrepreneuriat est un réel atout dans ces implications. En dehors de ses cours et de ses différentes implications, Anthony est un passionné de politique provinciale, fédérale et internationale. Il a d’ailleurs eu la chance d’être au cœur de l’action politique internationale à Paris en tant que délégué québécois en pleine campagne législative française dans le cadre de son stage d’été en politique publique.
Julien-Pierre est étudiant au baccalauréat en physique à l’université de Sherbrooke. Au cours de son premier stage, il a travaillé à l’institut d’astrophysique de Barcelone sur un projet en pollution lumineuse visant à mieux comprendre la pollution lumineuse et les mesures permettant de la réduire. Il occupe actuellement le rôle de représentant québécois au sein du conseil étudiant de l’association canadienne de physique. Rôle dans lequel il a pu travailler à l’organisation de séries d’événements pour les étudiants à travers le pays. Julien-Pierre est également très impliqué au niveau de l’expo-science, autant au niveau régional que national où il occupe le rôle d’ambassadeur dans l’organisation.
Étudiante en génie civil à l’Université McGill, Louise souhaite jeter des ponts entre les sciences, les arts, les lettres et les gens. Auparavant, elle a cofondé une jeune entreprise en agriculture urbaine. Elle vise désormais les occasions axées sur la transition énergétique. Louise a approfondi cet intérêt durant un stage avec l’Accélérateur net zéro du Canada et lors d’un projet de recherche sur les obstacles sociotechniques de l’électrification du Canada à McGill. Elle travaille sur des projets favorisant les espaces créatifs et inclusifs dans son université à Tiohtià:ke / Montréal.
Pénélope termine son baccalauréat en droit civil et son doctorat en droit à la Faculté de droit de l’Université McGill. Elle est principale agente de traitement des cas et vice-présidente des communications à Innocence McGill, un organisme qui enquête sur les allégations d’erreurs judiciaires au Québec et tente d’obtenir des disculpations. Pénélope est également bénévole au sein du Projet Genèse, un organisme communautaire qui vient en aide aux personnes aux prises avec des problèmes de logement, d’aide sociale, de pension et de soins de santé. Durant ses études, elle reste active en faisant de la course à pied et en jouant au soccer, et s’adonne au dessin et à la peinture. Fortement attirée par les droits de la personne et le parrainage juridique à l’échelle internationale, Pénélope a effectué ses stages d’été Loran auprès du département de protection du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés au Guatemala, où elle a étudié les questions de déplacement forcé en Amérique centrale et les tendances dans la région Izabal du Guatemala, ainsi qu’à la LICADHO, une ONG de défense des droits de la personne qui protège les droits civils et politiques des défenseur·e·s des droits de la personne au Cambodge.
Laurence est étudiante en travail social avec une mineure en études autochtones à l’Université McGill. Elle s’implique au sein de l’association étudiante de son programme, ainsi que dans un comité étudiant qui parraine des étudiant.e.s réfugié.e.s afin de les supporter dans leur réinstallation dans les communautés mcgilloise et montréalaise. Laurence coordonne également un groupe de soutien par les pairs pour des animateur.trices de cercles de réconciliation entre personnes autochtones et non autochtones, en plus d’enseigner bénévolement des cours de français aux nouveaux arrivants de la ville de Montréal.
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